Bonjour à tous !
Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’inviter l’un des fleurons du SEO français ; j’ai nommé : Sylvain Peyronnet !
Fondateur des outils SaaS YourTextGuru et Babbar, Sylvain représente une vision du travail de référenceur que j’aime beaucoup de par son parcours scientifique.
Il a déjà apporté énormément à la communauté et ce n’est que le début.
Pour les habitués de la communauté SEO, ce nom n’a aucun secret pour vous.
Pour les autres, ça me fait très plaisir de vous faire découvrir ce passionné de référencement et de moteurs de recherche.
C’est la première fois que je fais intervenir quelqu’un dans ma newsletter ; j’espère que ce format vous plaira (n’hésitez pas à me donner vos feedbacks en commentaire).
Place à l’interview
Pierre-André PATRY : Salut Sylvain ! Ça me fait très plaisir de te recevoir dans ma newsletter aujourd’hui.
Peux-tu te présenter, et nous dire ce que tu fais au quotidien pour ceux qui ne te connaissent pas ?
Sylvain Peyronnet : Bonjour Pierre-André, Bonjour à tous,
Je vais faire court : je m’appelle Sylvain Peyronnet et je suis actuellement le patron d’une entreprise qui s’appelle Babbar et qui édite les outils pour le SEO et le webmarketing babbar.tech et yourtext.guru.
Pierre-André PATRY : Tu as un parcours atypique pour un entrepreneur, et encore plus dans le SEO. Peux-tu nous raconter un peu ce cheminement ?
Sylvain Peyronnet : J’ai eu plusieurs métiers, mais principalement j’ai été enseignant-chercheur à l’Université. Après des études de maths pures et une thèse en informatique théorique j’ai été maître de conférences en algorithmique, puis professeur des universités, directeur d’une équipe de recherche en algorithmique et complexité.
J’ai ensuite quitté la fonction publique pour monter une première entreprise, les ix-labs, qui fait de la R&D et de la prestation, principalement pour le SEO et le webmarketing, puis j’ai monté avec pas mal de monde Babbar.
En parallèle j’avais toujours été éditeur de sites, ce qui explique pourquoi quand je suis parti dans le privé c’est le SEO qui a été ma cible principale en terme de clientèle.
Pierre-André PATRY : Aujourd’hui je te reçois Sylvain, mais le nom Peyronnet est également associé à ton frère Guillaume ; à qui on fait un coucou et qui a également beaucoup apporté au milieu du SEO.
Comment a démarré cette aventure familiale ?
Sylvain Peyronnet : C’est justement là qu’est mon passé d’éditeur de sites. Avec mon frère, et aussi ma sœur Lucie, nous avons baigné dans l’informatique très jeune (j’ai par exemple participé à la création et à la vente d’un premier logiciel quand j’étais en seconde, avec un copain de classe). Quelques années plus tard, mon frère - plus jeune que moi et encore lycéen à l’époque - voulait se lancer dans la programmation web, et ensuite faire un site web conséquent. Il a choisi de faire un site web culturel, c’était aux alentours de 2000 et c’est le site krinein.com, qui existe encore même si on a pas le temps de s’en occuper réellement.
Nous avons donc été éditeurs, et on a toujours travaillé ensemble sur le sujet même si j’avais choisi une autre voie. Vers 2016 nous avons fusionné toutes nos activités et nous travaillons donc ensemble sur tous les sujets depuis (nous : les trois enfants ;)).
Pierre-André PATRY : On va rentrer un peu plus dans le vif du sujet maintenant.
Peux-tu nous raconter un peu pourquoi avoir créé YourTextGuru et l’intérêt d’utiliser un outil d’analyse sémantique en référencement ?
Sylvain Peyronnet : A partir de 2013 nous avons fait la formation masterclass dans laquelle on expliquait comment un moteur calculait les signaux sémantiques pour la pertinence des pages par rapport à une requête. Certains des formés se sont lancés dans la fabrication d’outils, et un jour à une conférence Fred Bobet (Trikaya) et Benoit Chevillot nous ont proposé de faire un outil tous les quatre sur ce sujet.
On est reparti de zéro d’un point de vue algorithmique et développement, pour créer yourtext.guru.
Le premier objectif de l’outil était de créer des textes suffisamment bon pour le moteur de recherche rapidement. Il s’agissait donc d’aider les rédacteurs à écrire plus vite. Mais très rapidement on nous a remonté que les résultats de positionnement avec l’outil était a priori meilleurs que sans, nous avons donc fait des modifications pour amplifier cela, et proposer un outil sémantique d’aide au positionnement.
La sémantique ne fait pas tout, loin de là, mais avec un bon outil on est sûr qu’on est OK sur ce point, c’est déjà beaucoup.
Pierre-André PATRY : Lorsque j’utilise un outil en SEO, j’aime connaître son fonctionnement ; et je pense que c’est le cas de beaucoup de référenceurs.
Peux-tu nous expliquer un peu comment ça fonctionne ?
Sylvain Peyronnet : Le fonctionnement de yourtext.guru est unique, il est basé sur ce que nous appelons le corpus différentiel. En gros on va utiliser un modèle de la langue dans son intégralité, ce qui permet de connaître tout le vocabulaire employé par les êtres humains et les nombreuses données statistiques qui vont avec (par exemple quels sont les mots qui vont ensemble, c'est-à-dire une forme de co-occurrence).
Mais on va aussi créer en temps réel un corpus relié aux contenus mis en avant par Google dans la SERP correspondant à une requête.
C’est la comparaison par un algorithme spécifique qui va permettre à l’outil de comprendre ce qui est “attendu” par le moteur de recherche, c’est-à-dire comprendre les caractéristiques discriminantes, en termes de langage, du cluster correspondant à la requête dans l’index du moteur.
Pierre-André PATRY : Donc pour calibrer son texte aux attentes de Google, on peut donc dire que YourTextGuru reproduit le fonctionnement d’une partie de l’algorithme de Google ?
Sylvain Peyronnet : Alors en fait non, ce que fait yourtext.guru d’un point de vue conceptuel c’est utiliser Google pour comprendre ce que Google fait et attend. Nous ne faisons donc surtout pas un algorithme qui reproduit ce que pourrait faire Google (ce qui est impossible, avec des moyens raisonnables on ne peut en faire qu’une partie), mais au contraire un algorithme qui utilise la data déjà processée par Google pour comprendre l’attente.
Reproduire le fonctionnement coûterait plus cher, et serait en fait plus incertain et donc moins efficace pour les utilisateurs. C’est un écueil dans lequel il est facile de tomber quand on fait un outil sémantique d’ailleurs.
Pierre-André PATRY : Quels résultats as- tu observé pour un texte qui utilise YourTextGuru, comparé à un texte qui ne l’utilise pas ?
Sylvain Peyronnet : Avant de parler de texte fait avec versus fait sans l’outil, on peut parler de rédacteur qui utilise l’outil, et de ceux qui ne l’utilisent pas.
Avec l’outil un rédacteur bien entraîné est beaucoup plus rapide dans son process. A quel point ? C’est difficile à dire et on a des remontées diverses, mais on nous évoque des gains de temps de 10 à 30%.
Ensuite on observe que les textes bien optimisés (bon score et bonne forme de courbe, ce dernier point est très important) ont de bonnes performances dans les SERPs. Si l’intention est bonne et les autres critères également, on a assez vite des top 10 ou mieux. Bien entendu pour “gratter” les dernières places il faudra assez souvent faire du netlinking, car cela reste le signal clé pour débloquer les grosses positions sur des requêtes compétitives.
Pierre-André PATRY : On entend énormément parler des outils de génération de texte grâce à l’intelligence artificielle en ce moment.
Je sais que vous avez sorti une fonctionnalité à ce sujet chez YourTextGuru il y a peu de temps.
J’aimerais connaître un peu ton avis sur ces méthodes de rédaction de contenu.
Est-ce performant ? Est-ce risqué ? Quelle durabilité peut-on espérer à ce type de méthode ?
Et surtout, comment doit-on aborder ce type de méthode ? Vont-ils remplacer les rédacteurs ou est-ce juste un moyen d’être plus efficace ?
Sylvain Peyronnet : Il y a actuellement dans le commerce plusieurs familles de générateur : par exemple ceux sur des modèles open source de type GPT-J et GPT Neo, ceux basés sur GPT3 d’openAI, et SEO-TXL chez nous. Il s’agit d’un modèle entraîné nativement dans certaines langues, comme par exemple le français, ce qui est un avantage pour le traitement de cette langue en particulier.
La plupart des générateurs sont maintenant performants en termes de qualité d’écriture : les sorties ont l’air d’être en bon français. Ce qui pose toujours problème c’est la qualité de l’information : ces outils ne sont pas faits pour sortir de l’information correcte, simplement de la langue bien écrite.
Est-ce qu’il y a un risque à utiliser ces outils ? La réalité est qu’on ne sait pas, mais que le risque est techniquement faible pour l’instant. Google promet qu’il sévira si le problème posé par le contenu IA est trop fort, mais pour l’instant les sites qui sont pénalisés sont certes générés par de l’IA, mais sont black hat par essence même et donc mériteraient d’être pénalisés même si un être humain avait fait les contenus.
Il y a deux manières d’utiliser l’IA pour rédiger. La première est black hat, il s’agit de faire rédiger la totalité des contenus par la machine, avec un prompt (une entrée) minimal. L’autre méthode consiste à se faire assister dans sa rédaction par la machine : on s’en sert pour fournir des sujets à traiter, des introductions, des conclusions et aussi pour meubler en ajoutant une phrase par ci par là.
Cette dernière méthode permet aux rédacteurs à qui on demande souvent du texte au kilomètre, d’augmenter leur productivité sans trop dégrader la qualité de leurs livrables.
Pierre-André PATRY : J’aimerais qu’on parle un peu de tes clients maintenant.
A ce jour, combien de clients utilisent YourTextGuru ?
Qui sont-ils ?
Sylvain Peyronnet : Nous avons plusieurs dizaines de milliers de comptes utilisateurs (et ça compte des filous qui ont plusieurs comptes ;)), mais chaque mois on peut compter qu’on aura entre 3000 et 3500 utilisateurs en additionnant les abonnés et les utilisateurs en pay-per-use via les tokens.
La majorité des clients sont des rédacteurs web, souvent freelances. Mais plus du tiers sont des agences web, des annonceurs et des entreprises de la presse en ligne.
Pierre-André PATRY : Avant de passer à ton deuxième outil, Babbar, j’aimerais savoir quelle est ta vision à 5 - 10 ans pour YourTextGuru ?
Jusqu'où voudrais tu amener l’outil dans un monde parfait ?
Sylvain Peyronnet : Assez étonnamment c’est une question à laquelle je ne sais pas tout à fait répondre. Notre premier but est de faire un outil réellement utile : on a créé YourTextGuru pour avoir l’outil qu’on ne trouvait nulle part. Depuis, l'outil a pris du galon, au point que certaines enquêtes disent que nous sommes le leader en France.
Mon objectif est de reproduire cette réussite à l’international, si c’est possible !
Pierre-André PATRY : J’aimerais maintenant qu’on parle un peu de ton deuxième outil, Babbar qui est également un logiciel SaaS destiné au SEO.
Peux-tu nous présenter un peu ce que c’est ?
Sylvain Peyronnet : C’est très simple, Babbar est un outil qui vise à faire tout ce que yourtextguru ne fait pas et qui peut être utile aux SEOs : analyse du graphe du web pour calculer des métriques des sites et des pages, analyse du positionnement, analyse technique, analyse du taux de duplication, etc.
Pour nous situer je peux évoquer les concurrents, il s’agit de Majestic SEO, SEMrush, Ahrefs, Sistrix et équivalents.
Pierre-André PATRY : Tu as levé un peu plus de 2 millions d’euros il y a un peu plus d’un an.
Pourquoi cette levée sur Babbar et pas sur YourTextGuru ?
Sylvain Peyronnet : En fait, cette levée est sur la société Babbar, qui gère babbar.tech et yourtext.guru. Il s’agit donc d’une levée pour le développement technique et commercial des deux outils, qui est fait par une seule et même équipe (nous sommes 12 au moment où j’écris ces lignes).
L’objectif de la levée était classique : de l’argent pour les infrastructures et pour le recrutement d’une équipe complète. C’était d’autant plus crucial que nous avons fait le choix d’être propriétaire de nos infrastructures : pas de cloud, et des serveurs choisis finement que nous avons acheté et qui sont hébergés dans des baies à nous (mais dans un datacenter partenaire bien entendu).
Pierre-André PATRY : Tu as levé principalement auprès de Business Angels, BPI France mais également avec le fond d’investissement Go Capital.
Pourquoi avoir choisi ce fond ?
Et pourquoi ces Business Angels ?
Sylvain Peyronnet : Nous avons fait la majeure partie du travail de levée pendant l’époque du confinement, et totalement en période covid. Même si on a fait un road show plus large, nous avons très rapidement concentré notre travail sur l’écosystème normand que l’on connaît bien. En premier les Business Angels de Normandie BA, et à partir de là nous avons attiré l’œil du fonds Go Capital.
Nous avons été ensuite rejoints par Normandie Participations (le fonds de la région Normandie, que tu as oublié ;)) et enfin la BPI ventures qui a entendu parler de notre techno et qui a voulue être dans l’aventure.
Choisir ses investisseurs c’est vraiment un point important car chacun va avoir sa thèse d’investissement et sa manière de se comporter. Nous avons tout de suite accroché avec cet écosystème qui est d’envergure national mais avec une vraie envie de mettre en avant les entreprises régionales.
Pierre-André PATRY : Tu peux nous en dire un peu plus sur le stade de maturité de Babbar ?
Quels chiffres peux-tu nous donner ?
Sylvain Peyronnet : L’outil est commercialisé de manière officielle depuis une année et sur les chiffres d’utilisation il n’y rien de spécial à dire (quelques centaines d’utilisateurs). On connaît une belle croissance depuis le début et on sort des nouvelles fonctionnalités tous les mois environ.
Aujourd’hui on a un périmètre fonctionnel assez conséquent : 1300 milliards de pages connues avec leurs métriques, positionnement sur plusieurs dizaines de millions de mots-clés, calcul de la duplication interne, fonctionnalités de recherche de sites, PageRank thématique, etc. On fait feu de tout bois pour être l’un des outils les plus complets à l’international d’ici 1 an maximum.
Pierre-André PATRY : De la même manière que YourTextGuru, est-ce que Babbar est également une réplique du fonctionnement d’une partie de Google ?
Sylvain Peyronnet : Autant ce n’était pas le cas de YourTextGuru, autant c’est exactement cela pour Babbar. Il faut vraiment voir l’outil comme étant un moteur de recherche, qui au lieu de classer des pages va renvoyer en sortie des informations qui correspondent aux signaux qui permettrait de faire ce classement.
Par ailleurs, nous envoyons des informations de monitoring avec tout ce qui est analyse du positionnement.
Pierre-André PATRY : YourTextGuru et Babbar sont des outils qui permettent de faciliter la rétro-ingénierie des moteurs de recherche (tu m’arrêtes si je me trompe).
De ce fait, tes équipes et toi doivent régulièrement tester chaque nouvelle brique afin de voir si le fonctionnement de vos outils et de Google est similaire.
Comment menez vous ces tests ?
Cette méthodologie est-elle à la portée de n’importe quel référenceur souhaitant explorer une partie du fonctionnement de Google ?
Sylvain Peyronnet : Il y a sans doute plusieurs manières de mesurer la qualité de nos fonctionnalités, et notamment la qualité de notre data.
Le plus simple est de faire des prédicteurs : on fait un dataset de pages web avec leurs positionnements, et on regarde si un algorithme de Machine Learning qui n’utilise que la data de Babbar et de YourTextGuru peut prédire où va se situer chaque page dans le classement.
Si le niveau de prédiction est bon c’est que nos métriques sont correctes, si le niveau monte c’est qu’on s’améliore ou qu’on a introduit une belle nouvelle métrique, si il baisse c’est qu’il faut qu’on revoit notre copie.
Ce type de méthodologie est à la portée de tout le monde, surtout maintenant qu’on peut accéder facilement à des gros volumes de données (par exemple les APIs babbar sont illimités en volume - pas en rythme d’interrogation en revanche). Il existe des formations qui expliquent comment faire ce travail, la plus connue étant celle de Vincent Terrasi.
Pierre-André PATRY : On voit de plus en plus en France, une tendance de référenceurs et marketeurs, principalement sur LinkedIn, qui nient l’utilité du netlinking ; et également de l’achat de liens.
Qu’est-ce que tu penses de cette opinion vis-à-vis de ton expérience ?
Sylvain Peyronnet : Toutes les opinions existent, mais j’ai du mal à comprendre comment un référenceur expérimenté pourrait tenir un tel discours de manière générique.
Autant on peut trouver des cas où les contenus textuels sont inutiles pour ranker (regardez la requête “pâte à crêpes”, le site de Philippe Etchebest est 3eme au moment où j’écris ces lignes, il rank avec une vidéo et sans contenu textuel réel), ce dont je me désole en tant que fournisseur d’un outil sémantique, autant ranker sur des requêtes compétitives sans netlinking est quasiment impossible sauf à être un site d’une marque incontournable pour la requête.
Le netlinking reste donc un pilier du SEO. Est-ce que c’est le seul signal ? non bien sûr, et donc on peut être le premier sur une requête même si on a un moins bon netlinking que le 2eme ou 3eme, mais dire que le netlinking ne sert à rien reste faux.
Dans le discours de certains, il y a aussi une forme d’oubli involontaire : si on a une page sans lien, mais bien maillée à l’interne d’un site, et que le site a lui un très bon netlinking, c’est donc que la page a un bon netlinking, même si c’est par ricochet via le maillage interne.
Concernant l’achat de liens c’est là une tout autre question. L’achat de liens c’est un métier, et il faut savoir bien choisir. Si on est dans ce cas c’est utile, sinon ça ne l’est pas.
Pierre-André PATRY : J’imagine qu’il y a des utilisateurs YourTextGuru et Babbar dans mes abonnés, quelles sont les prochaines features dans la roadmap ?
Sylvain Peyronnet : Ahah, c’est bien tenté, mais on ne communique pas sur la roadmap. En vrai surtout parce que ça crée une attente et qu’on ne sait jamais si on pourra sortir les choses en heure et en temps ;)
Mais je peux dire qu’à la rentrée il y aura énormément de nouveautés, sur les deux outils.
Pierre-André PATRY : Tu veux nous dire un mot pour la fin ?
Sylvain Peyronnet : Un mot pour toi Pierre-André, que je remercie pour m’avoir invité à écrire ces quelques lignes. Et puis comme c’est la période, bonnes vacances sous le soleil à ceux qui en prennent !
Pierre-André PATRY : Merci beaucoup pour cette intervention Sylvain ça a été un plaisir de te recevoir ici pour partager ta vision du SEO !
Références
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Pierre-André PATRY